Des bouillons dans la tête,
Les genoux et les dents qui claquent au tempo de ta jalousie.
L' accalmie est déjà loin.
L' hystérie que tu camouflais à coup d' orgueil,
S' est déversé dans tes veines
Pour y parfumer ta peau
De panique et d' angoisse.
Ton être se vêtit de peur comme seul armure
Et ta tête se coiffe de rage et de haine.
Comme pour combattre une armée
Qui n'existe que pour ta destruction
Et que seul toi se crée.
Lâcher les armes serait-il s' avouer vaincue?
Garde la tête haute et le peu d'honneur qu'il te reste,
Le feu s'éteindra doucement ainsi que ta folie...
Grand Retour ! ... mais pas tant.
Il y a 2 mois
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